Centre d'enseignement et de recherche artistique de Colmar

Formé au centre de danse Rosella Hightower, il intègre tour à tour le Ballet du Rhin (classique), puis la compagnie Odile Duboc (contemporain) et Motus modules (danse aérienne)...

Après 30 ans de danse dans différentes compagnies, il se tourne vers l'enseignement par « envie de partager ce savoir acquis tout au long de ma vie de danseur ».

Sa touche personnelle : une danse qui prend toutes les formes, mélangeant ludique et technique.

Danseuse et professeur de danse, Catherine Conreaux 30 ans, commence la danse à 6 ans par le moderne jazz. 

Elle rejoint à 15 ans un groupe de danse chorégraphique. Elle va se produire sur scène et participer à des compétitions nationales et européennes. 

Ensuite, elle rejoint un groupe de danse hiphop debout avec qui elle fera des scènes. 

Pour compléter sa formation de danseuse, elle ira au centre Cynthia Jouffres à Rixheim. Puis au centre supérieur de danse « off jazz » à Nice.

Par la suite, en tant que danseuse, elle se produit dans diverses compagnies d’Alsace. 

Du fait de son parcours pluridisciplinaire, ses influences chorégraphiques sont multiples. Dans sa transmission de la danse, elle aspire à un dépassement de soi, à une recherche personnelle du mouvement et à une continuité du mouvement. 

Elle est titulaire du Diplôme d'Etat (DE) en danse contemporaine.

	Photos de Clément Rousseau

Clément à commencé la danse classique à 9 ans, chez  Cynthia Jouffre puis a évolué vers le jazz. A 15 ans il rejoint la compagnie "Pourquoi Pas".

Il rejoint le CDA une fois le bas obtenu. Détenteur d'un master en Histoire Américaine passé à Strasbourg, il part vivre un an aux Etats Unis. Il se spécialise dans l'étude du mouvements des droits civiques des années 1960 au travers de l'étude des chorégraphies de  Alvin Ailey et  Katherine Dunham et de leurs techniques respectives. Parallèlement, Clément se forme avec Patrice Valéro, Angelo Monaco ou encore Christine Hassid, et en technique Horton. Il danse également durant deux années dans la  Cie A l’Art’H avec Vanessa MELZER.

De retour en France, il passe son diplôme d'Etat de danse à Toulouse.

Voici ce que Clément dit de la danse et plus particulièrement de l'enseignement :

"Je me suis tourné vers l'enseignement de la danse car j'aime transmettre cette étincelle qui me fait vibrer. Pour moi la technique jazz est essentiellement un outil au service de l'interprète, un outil de communication. Tout le monde peut être danseur, et chacun s'exprime à sa manière. En tant qu'enseignant, mon rôle est de fournir une plus grande palette à mes élèves afin qu'il puisse s'exprimer encore plus. J'ai choisi la spécificité jazz, car pour moi c'est une danse qui se danse avec les tripes. En jazz, on fait appel à ses propres émotions et ressentis et on les déverse dans notre danse, c'est quelque chose qui est puissant et profondément émouvant. Il y aussi cet aspect joyeux et joueur avec la musique et surtout cet aspect historique et ancien qui m'attire beaucoup. "

J’ai commencé la danse à l’âge de quatre ans et très vite je me suis rendue compte que ça allait devenir une passion! Je suis passée par plusieurs styles de danse (classique, jazz, orientale, moderne, hip-hop, dancehall et contemporain).

Aujourd’hui je pratique la danse à côté de mes études et je ne pourrais pas m’en passer!

J’ai pris part à de nombreux projets artistiques aux côtés de Serap Yilmaz Rigault, j’ai enseigné l’éveil et l’initiation et j’enseigne actuellement le Hip-Hop.

Au terme de 17 années de carrière au ballet de l’opéra national du Rhin en tant que danseuse interprète, Sybile a souhaité se consacrer à l’enseignement de la danse.

Depuis longtemps passionnée par la pédagogie, elle obtient son diplôme d’état de professeur de danse en 2011. Depuis 2014, elle partage sa passion avec des enfants de tous âges et des adultes dans différentes structures du Haut-Rhin. Elle enseigne au CERAC depuis 2020.

« Au travers de la gestuelle rigoureuse de la danse classique, j’accorde une part importante au sens artistique lors des séances afin que chacun puisse s’exprimer par la qualité de son propre mouvement. »